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simon de cyrène

Chaque année, en France, grâce aux progrès de la médecine d’urgence, 40 000 personnes survivent à un accident grave de la route, du sport ou vasculaire cérébral. Après plusieurs mois de coma, et des handicaps acquis, la vie est bouleversée. Perte de repères, d’emploi… mais aussi risque de solitude et de désocialisation. Se pose alors une question difficile : « Quel sens donner à ma vie, désormais ?». L’association Simon de Cyrène développe et anime des «maisons partagées », lieux de vie partagés où adultes valides et handicapés (suite à des lésions cérébrales, traumatismes crâniens, AVC…) partagent une relation amicale et solidaire.

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I- Un exemple de réalisation concrète :

Le groupe d’activités de jour « Le Cocon de Simon » permet à des personnes handicapées, des bénévoles et des animateurs, de se retrouver ensemble pour vivre de bons moments au travers d’activités sur place ou en extérieur. Chacun est libre d’y participer en fonction de ses envies et de ses disponibilités.

« Depuis que je suis handicapé, ma plus grande souffrance, plus que le handicap, c’est la solitude. »

Un résident

Photo Lourde

Meriem fait la cuisine dans les habitats partagés Simon de Cyrène

Photo Rome

La vie dans les Maisons de l’Espérance au cours d’un repas partagé.

II- Quel soutien pour l’Homme ?

  • Permettre à la personne confrontée au handicap, notamment à la suite d’un accident, d’être créatrice de sens et de lien, en animant à Villeurbanne 2 maisons partagées où vivent ensemble 22 habitants dont 12 personnes en situation de handicap et 10 salariés et volontaires.
  • Ces lieux de vie partagés sont animés par des équipes qui redonnent du sens, accompagnent pour que chacun trouve sa place dans cette vie partagée et soit acteur de la cité.
  • Animer en parallèle un groupe d’activités de jour, véritable lieu de rencontre qui permet de retrouver un sens à sa vie dans la relation gratuite à l’autre.

Plus d’info sur www.simondecyrene.org/lyon